Sunday, September 11, 2005
Aisselles
J'aime quand elle lève les bras et met ses mains dans les cheveux. Elle ouvre et expose les aisselles avec leur douce bosselure devenue nue des épilations avec de l'humide un peu comme un reste de vêtement sur cette fragilité souvent offerte. Elle se boirait bien une tisane. Elle a les yeux d'un vert si blanc et les cheveux dans un désordre longs, bruns et en torsades. Elle a le débardeur fuschias avec des bretelles noir de soutien-gorge et son djean. Elle a la ceinture noir avec des clous et des bandes roses sur ses pumas. Des lamelles de nacre ocre au poignet et des boucles orientals comme un soleil compliqué de métal et d’arabesques avec une pierre ambrée au milieu. Elle défait patiemment l'étiquette de sa bouteille d'eau en observant son reflet dans la vitre. Un petit brillant en haut à droite à la commissure de la bouche. Il est si tard.
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